Comment travailler à l’ONU en 2025 ? (EPISODE 109)

31 Oct 2025

Tu rêves de travailler à l’ONU, mais tu ne sais pas vraiment par où commencer ?

Entre les différentes agences, les formations possibles, les missions sur le terrain et les concours d’entrée, le système peut sembler opaque. Les questions fusent : quel diplôme faut-il ? Combien gagne-t-on ? Est-ce difficile d’être recruté ?

Pour t’aider à y voir clair, j’ai rencontré Éric, fonctionnaire international depuis 20 ans. Il travaille aujourd’hui à Genève dans une agence technique des Nations Unies, rattachée à l’OMC, et partage avec nous son parcours, ses conseils, et les réalités du métier.

L’essentiel à retenir POUR TRAVAILLER A l’ONU⚡

  • L’ONU regroupe deux grands types d’agences : humanitaires et de développement
  • Le travail sur le terrain est aussi important que celui de bureau
  • Une double compétence (économie + terrain, droit + genre, santé + data…) est un atout majeur
  • Le niveau Master (Bac+5) est le minimum requis
  • Les postes permanents sont rares, mais il existe de nombreuses missions de consultanc
  • L’anglais est impératif, le français ou l’espagnol sont des atouts.

1. L’ONU, bien plus qu’une organisation : un acteur clé du développement mondial

Éric travaille pour une agence spécialisée dans le développement économique. Sa mission : aider les gouvernements et les PME à renforcer leur économie, créer des emplois et réduire la pauvreté.

L’agence agit à deux niveaux complémentaires :

Au niveau des entreprises Soutenir les PME locales pour améliorer leur productivité, affiner leur stratégie commerciale, faciliter leur accès aux marchés internationaux et aux financements.

Au niveau institutionnel Accompagner les gouvernements dans la conception et la mise en place de politiques publiques favorisant la croissance économique durable et la stabilité.

🎯 Objectif final : un développement économique inclusif, respectueux de l’environnement et intégrant les femmes et les jeunes dans l’économie formelle.

“Notre rôle, c’est d’apporter une expertise technique neutre. Nous ne décidons pas à la place des pays : nous les accompagnons dans LEURS priorités.”

Cette approche respectueuse de la souveraineté nationale est au cœur de la philosophie onusienne.

2. Le parcours d’Éric : du privé à l’entrepreneuriat, puis à l’ONU

Avant de rejoindre les Nations Unies, Éric a construit un parcours varié et international. Loin du cursus “tout tracé”, son itinéraire montre qu’il existe plusieurs chemins pour accéder à l’ONU.

Ses études et premières expériences professionnelles AVANT DE TRAVAILLER A l’ONU

  • Master en Management et Commerce International
  • 6 ans dans le secteur privé (États-Unis, Londres) dans le commerce international, la finance et les hautes technologies
  • Expérience concrète de l’économie mondialisée : flux commerciaux, réglementations douanières, logistique internationale, négociations B2B

Cette première phase lui a permis de comprendre les mécanismes réels de l’économie mondiale, bien au-delà de la théorie universitaire.

L’aventure entrepreneuriale en Afrique

À 30 ans, Éric prend un virage radical : il crée deux entreprises en Afrique de l’Est (Ouganda et Éthiopie).

👉 Cette expérience de terrain s’est révélée essentielle pour sa future carrière onusienne. Elle lui a permis de :

  • Comprendre les défis concrets du développement économique dans les pays émergents
  • Naviguer dans des environnements institutionnels complexes
  • Développer une connaissance pratique des PME africaines
  • Tisser un réseau local solide

L’entrée progressive à l’ONU

Le parcours d’Éric vers l’ONU n’a pas été linéaire :

  1. Stage à la CNUCED (Conférence des Nations Unies sur le Commerce et le Développement) à Genève, après ses 30 ans
  2. Missions de consultant au Centre du Commerce International (ITC) pendant deux ans
  3. Recrutement comme fonctionnaire international permanent après avoir fait ses preuves

Aujourd’hui, il gère des projets de développement économique dans des pays post-conflit comme l’Irak, en alternant entre missions terrain (3-6 mois) et coordination depuis le siège à Genève.

3. TRAVAILLER A L’ONU sur le terrain : concret, exigeant, passionnant

Contrairement à l’image parfois “bureaucratique” qu’on peut avoir de l’ONU, le quotidien d’Éric est intensément opérationnel.

Exemple concret : la mission en Irak

Quand Éric arrive en Irak pour une mission de plusieurs mois, son mandat est clair mais complexe :

Volet micro-économique

  • Aider les PME à redémarrer après des années de conflit
  • Faciliter leur diversification économique (sortir de la dépendance au pétrole)
  • Fournir des outils concrets : équipements d’irrigation pour l’agriculture, formations techniques, soutien à la commercialisation

Volet institutionnel

  • Travailler main dans la main avec les ministères économiques
  • Collaborer avec le Parlement pour réviser les lois sur les investissements et le commerce
  • Former les fonctionnaires aux standards internationaux

Une approche sur-mesure, jamais standardisée

Chaque projet commence par une phase de diagnostic approfondie :

  • Analyse du contexte politique et sécuritaire
  • Compréhension des priorités nationales et locales
  • Évaluation des capacités institutionnelles existantes
  • Identification des parties prenantes clés

“On ne vient jamais avec une solution clé en main. Chaque pays est unique, chaque projet aussi. Ce qui fonctionne au Rwanda ne fonctionnera pas forcément en Irak.”

Cette flexibilité et cette capacité d’adaptation sont au cœur de l’efficacité des projets onusiens.

4. Quelles études pour travailler à l’ONU en 2025 ?

L’ONU, c’est un univers vaste avec des profils très variés selon les agences. Mais certaines tendances de carrières internationales se dégagent clairement.

Formations les plus recherchées par domaine

Gouvernance et coordination

  • Relations internationales
  • Science politique
  • Affaires publiques
  • Gestion de projets humanitaires

Économie et développement

  • Économie du développement
  • Commerce international
  • Finance internationale
  • Statistiques et data science

Juridique

  • Droit international public
  • Droit humanitaire
  • Droits humains
  • Droit de l’environnement

Santé publique

  • Médecine tropicale
  • Épidémiologie
  • Nutrition
  • Gestion de crises sanitaires

Environnement et agriculture

  • Développement durable
  • Agronomie
  • Gestion des ressources naturelles
  • Changement climatique

Niveau d’études requis POUR TRAVAILLER A L’ONU

🎓 Minimum absolu : Master (Bac+5)

Mais attention : le Master seul ne suffit plus. Les profils qui sortent du lot ont :

  • Un double diplôme (ex : économie + data science, droit + genre, santé + management)
  • Une spécialisation technique pointue (blockchain pour le développement, analyse de conflits, évaluation d’impact…)
  • Des certifications complémentaires (gestion de projet, langues rares, logiciels spécialisés)

Un doctorat est un atout pour les postes de recherche ou d’expertise de très haut niveau, mais pas une obligation.

L’expérience de terrain : LE critère discriminant

Sur le papier, des milliers de candidats ont un Master et parlent anglais. Ce qui fait la différence, c’est l’expérience concrète du terrain.

Les moyens d’acquérir cette expérience :

Volontariat international

  • VIE (Volontariat International en Entreprise)
  • VSI (Volontariat de Solidarité Internationale)
  • Corps de la Paix (pour les Américains)
  • Programmes de l’ONU Volontaires

Stages de longue durée

  • Dans les bureaux pays de l’ONU
  • Dans les ONG partenaires
  • Dans les agences de coopération bilatérale

Expérience professionnelle

  • Secteur privé dans les pays émergents
  • Entrepreneuriat local
  • Recherche de terrain (doctorants)
  • Journalisme international

“C’est l’expérience de terrain qui forge ta compréhension du monde — et qui te rend crédible face à tes interlocuteurs. Un ministre ou un entrepreneur local sent immédiatement si tu comprends vraiment leur réalité.”

5. Recrutement, statuts à l’ONU

Parlons concret : comment entre-t-on à l’ONU et combien gagne-t-on ?

Les différents statuts POUR TRAVAILLER A L’ONU

1. Consultant (le plus courant pour débuter)

  • Missions temporaires de 3 à 12 mois
  • Rémunération à la journée : environ 250-400 $/jour selon l’expertise
  • Pas de couverture sociale onusienne
  • Renouvellement possible, mais limité dans le temps

2. Fonctionnaire international (le Graal)

  • Poste permanent avec contrat à durée indéterminée
  • Salaire fixe selon le grade (P1 à P5, puis D1-D2 pour les directeurs)
  • Couverture santé complète
  • Pension de retraite
  • Mobilité géographique obligatoire

3. JPO – Junior Professional Officer (idéal jeunes diplômés)

  • Programme financé par les États (France via le Ministère des Affaires Étrangères)
  • Durée : 2-3 ans
  • Tremplin vers un poste permanent
  • Très sélectif (environ 20-30 postes/an pour la France)

4. UNV – Volontaires des Nations Unies

  • Missions de 12-24 mois
  • Indemnité modeste mais expérience valorisante
  • Souvent sur le terrain dans des zones difficiles

La réalité du marché de l’emploi onusien en 2025

⚠️ Soyons honnêtes : les recrutements permanents sont actuellement ralentis à cause de :

  • Réformes budgétaires des Nations Unies
  • Pression des États contributeurs pour réduire les coûts
  • Concurrence accrue (des milliers de candidatures par poste)

MAIS : les opportunités de consultance et les projets spécifiques restent très dynamiques, notamment dans :

  • Les zones de crise (Ukraine, Soudan, Sahel…)
  • Les projets climat et transition écologique
  • La transformation numérique
  • L’égalité de genre

Comment candidater concrètement ?

Les plateformes officielles

Le processus de recrutement type

  1. Candidature en ligne (CV + lettre de motivation en anglais)
  2. Tests écrits (analyse de cas, rédaction de note)
  3. Entretien panel (3-5 personnes, souvent en visio)
  4. Vérification des références
  5. Délai : 3-6 mois minimum

Les erreurs à éviter

  • Candidater sans expérience de terrain
  • CV trop long (max 2 pages)
  • Ne pas adapter sa candidature à chaque poste
  • Sous-estimer l’importance des langues

6. Les conseils d’Éric pour réussir sa candidature

Après 20 ans dans le système onusien, Éric a vu passer des centaines de candidatures. Voici ses recommandations sans filtre.

1. Clarifie ta vocation : humanitaire ou développement ?

Beaucoup de candidats confondent les deux :

Humanitaire (HCR, PAM, UNICEF urgence)

  • Intervention en crise aiguë
  • Cycles courts (3-6 mois)
  • Environnements à risque
  • Profil : réactivité, stress management, logistique

Développement (PNUD, ITC, FAO, OIT)

  • Projets structurels de long terme
  • Cycles longs (2-5 ans)
  • Approche partenariale
  • Profil : expertise technique, diplomatie, patience

“Si tu aimes l’adrénaline et l’action immédiate, va vers l’humanitaire. Si tu préfères construire sur le temps long avec une approche systémique, choisis le développement.”

2. Les langues : non négociables

L’anglais est IMPÉRATIF

  • Niveau C1 minimum (pas B2)
  • Capacité à rédiger des rapports techniques
  • Aisance en réunion multilatérale

Le français ou l’espagnol : un vrai différenciateur

  • Énorme avantage pour les postes Afrique francophone
  • L’espagnol ouvre l’Amérique latine
  • L’arabe, le chinois, le russe sont très valorisés

Investis dans des certifications :

  • TOEFL/IELTS pour l’anglais
  • DELF/DALF pour le français
  • DELE pour l’espagnol

3. Multiplie les expériences de terrain, même courtes

Le terrain, ce n’est pas forcément 5 ans dans un camp de réfugiés. Ça peut être :

  • Un stage de 3 mois dans une ONG locale au Sénégal
  • Une mission de volontariat de 6 mois au Cambodge
  • Une recherche de terrain pour ton mémoire de Master au Pérou
  • Un VIE dans une entreprise en Éthiopie

L’important : sortir de ta zone de confort et comprendre les réalités du Sud global.

4. Développe ta “casquette technique”

L’ONU ne cherche pas des généralistes vagues. Elle cherche des experts capables de :

  • Mener une analyse de marché dans un contexte post-conflit
  • Évaluer l’impact d’un projet avec des méthodes rigoureuses
  • Former des fonctionnaires sur des sujets complexes
  • Négocier avec des parties prenantes diverses

Quelques compétences techniques très demandées en 2025 :

  • Data analysis et visualisation (Python, R, Power BI)
  • Gestion de projet agile
  • Évaluation d’impact (RCT, théorie du changement)
  • Genre et inclusion (pas un “plus”, un requis)
  • Approche systémique et pensée complexe

5. Cultive l’humilité et la curiosité culturelle

“Tu vas travailler avec des ministres, des entrepreneurs, des agriculteurs, des réfugiés… issus de 50 pays différents. Si tu arrives avec une vision occidentale supérieure du développement, tu vas droit dans le mur.”

Les qualités humaines essentielles :

  • Écoute active : comprendre avant de proposer
  • Flexibilité : accepter que ton plan A ne marche jamais
  • Résilience : gérer les frustrations bureaucratiques
  • Intelligence culturelle : adapter ta communication selon les contextes

6. Crois au multilatéralisme

Dernier point, plus philosophique mais essentiel : l’ONU traverse des turbulences, les critiques fusent, le système est imparfait.

Mais Éric insiste :

“Le multilatéralisme, ce n’est pas qu’un mot à la mode. C’est la conviction profonde que les grands défis mondiaux — climat, pauvreté, migrations, pandémies — ne peuvent être résolus que collectivement. Si tu ne crois pas à ça, tu vas vite te décourager.”

Travailler à l’ONU, c’est accepter les compromis, les lenteurs diplomatiques, les consensus mous… mais c’est aussi participer à quelque chose de plus grand que soi.

FAQ Complète – Travailler à l’ONU 🌐

Quel diplôme faut-il pour travailler à l’ONU ?

Un Master (Bac+5) minimum est requis, dans un domaine lié à la mission de l’agence : économie du développement, relations internationales, santé publique, droit international, environnement, etc. Un double diplôme ou une spécialisation technique est un vrai atout différenciant.

Peut-on travailler à l’ONU sans expérience ?

C’est très difficile pour un poste permanent, mais possible via :

  • Les programmes JPO (Junior Professional Officer) financés par les États
  • Les stages de 3-6 mois à Genève, New York ou sur le terrain
  • Le programme UNV (Volontaires des Nations Unies)
  • Les missions de consultance courtes pour débutants

L’expérience de terrain (même 3-6 mois) reste le tremplin indispensable.

Comment débuter une carrière à l’ONU concrètement ?

Les portes d’entrée les plus fréquentes sont :

  1. Les consultances : missions courtes (3-12 mois) pour se faire connaître
  2. Les stages à Genève, New York, Nairobi ou sur le terrain
  3. Le programme JPO (très sélectif, 20-30 places/an pour la France)
  4. Les ONG partenaires : HI, ACF, MDM travaillent étroitement avec l’ONU
  5. La coopération bilatérale : AFD, GIZ, USAID → passerelles vers l’ONU

Le parcours moyen : Stage → Consultance → JPO ou poste permanent (3-7 ans).

Est-ce difficile de travailler à l’ONU ?

Oui, c’est très compétitif :

  • Des milliers de candidatures pour chaque poste permanent
  • Processus de recrutement long (3-6 mois minimum)
  • Exigences élevées : Master + terrain + langues + expertise technique

MAIS les opportunités existent, surtout en consultance et dans les zones difficiles (Sahel, Soudan, Afghanistan) où les candidats sont moins nombreux.

Quelles langues faut-il parler pour travailler à l’ONU ?

Langues officielles de l’ONU : anglais, français, espagnol, arabe, chinois, russe.

Minimum requis :

  • Anglais courant (C1) : absolument impératif
  • Une 2e langue : fortement recommandée

Les combinaisons gagnantes :

  • Anglais + Français (Afrique francophone, Haïti, Liban)
  • Anglais + Espagnol (Amérique latine)
  • Anglais + Arabe (Moyen-Orient, Afrique du Nord)

Plus tu parles de langues, plus tu es mobile et attractif.

Conclusion : L’ONU, une carrière exigeante mais profondément gratifiante

Travailler à l’ONU, ce n’est pas qu’un emploi : c’est une mission au service du monde.

C’est aussi un parcours exigeant, qui demande :

  • De la curiosité intellectuelle pour comprendre des contextes complexes
  • De la rigueur professionnelle pour produire des analyses de qualité
  • De la résilience personnelle pour naviguer dans un système parfois frustrant
  • Et surtout, une expérience réelle du terrain pour comprendre les réalités du développement

Mais c’est également l’opportunité de :

  • Contribuer concrètement à des projets qui changent des vies
  • Travailler avec des experts du monde entier
  • Vivre une carrière internationale riche et diverse
  • Donner du sens à son engagement professionnel

Si tu te reconnais dans ce profil, alors fonce. Le monde a besoin de personnes compétentes et engagées.

👉 Si tu veux que je t’aide à construire ton parcours ou ton dossier pour des candidatures internationales, contacte moi.

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